Histoires candaulistes : Ma femme se fait démonter par un solide gaillard

Mon histoire de cul candauliste se déroule une nuit de noël, car je décidais de lui offrir un cadeau en réalisant l’un de ses fantasmes et d’en profiter pour assouvir une vieille pulsion.

J’ai longtemps caché à ma femme que j’étais un voyeur qui ressentait une forte excitation en partageant sa conjointe avec une tierce personne, j’avais peur qu’elle me prenne pour un gros pervers. Mais avec le temps, je découvrais une autre facette d’Emilie. Elle était beaucoup plus ouverte d’esprit que ce que je pensais et mieux encore, ma bonne femme était une vraie perverse. Elle me fit part un jour de son envie de se faire baiser par un black monté comme un taureau, et grande fut ma joie quand je découvris qu’elle avait ce type de fantasme. Au départ je feins la jalousie afin de ne pas piquer sa curiosité, mais quelques instants plus tard je faisais sembler de céder à son caprice par amour. Vincent mon collègue d’origine congolaise ferait parfaitement l’affaire et je savais que ma femme avait un petit faible pour lui. Organiser tout ça un jour de noël fut quelque chose d’aisé car on aurait dit que nous trois attendions ce moment depuis longtemps.

Ma première expérience en tant que voyeur

Il arriva habillé comme un prince et s’installa dans notre salon. Ma femme tenait absolument à ce que nous commencions avant le repas. Je n’y voyais pas d’inconvénient et Vincent non plus. On aurait dit que nous étions tous excité à l’idée de ce qui allait se produire et pressé d’y participer. Je savais de source sure que Vincent avait une grosse bite, Sophie de la comptabilité en avait fait les frais et ne pouvait s’empêcher de le répéter a des oreilles indiscrètes au bureau. En galant homme il proposa à ma femme de danser pendant que je resterai assis dans mon fauteuil. A ma grande surprise, ses mouvements de hanches furent tellement sensuels qu’une bosse se forma sur mon pantalon, ça démarrait bien.

Un candauliste heureux pour la vie

Il roula une pelle a ma femme, et je sentis celle-ci fondre sous l’effet de sa langue. Il lui enleva lentement ses vêtements et se mit à lui sucer les seins d’une langue experte car je pouvais déjà entendre son gémissement. Ils se déshabillèrent, et sans même savoir comment, j’avais moi aussi ôté mes vêtements et j’étais en train de me caresser le chibre. Vincent ramona la cheminée de mon épouse et je l’entendais couiner de bonheur comme jamais auparavant. Les dires étaient vrais, Vincent était bien membré et mon épouse semblait émerveillée. Il commença par lui défoncer la foufoune avant de s’introduire dans sa rondelle. Je me masturbais avec frénésie devant ce spectacle puis vint un orgasme tellement violent qu’il me fit presque tourner de l’œil. Cette soirée fut magique pour nous trois.